Nostalgie de la puissance d'un côté / Nostalgie de la liberté de l'autre...
Beaucoup de peuples sur cette terre vivent dans la nostalgie de leur gloire passée, de leur puissant empire perdu... Ces peuples généralement vantent les mérites de la pacification du territoire qu'ils avaient conquis et de la civilisation dont le monde aurait bénéficié grâce à eux. Par certains côtés les beaux restes qui subsistent de cette expansion pourraient nous faire admirer le passé des conquérants... Mais il ne faut surtout pas oublier : 1. Un peuple conquis est toujours un peuple soumis. 2.Un peuple soumis est humilié en permanence directement et indirectement. 3. A cette humiliation s'ajoute la persécution quand ce peuple refuse d'être humilié. 4. Si la persécution ne suffit pas à écraser l'énergie de ce peuple, elle peut se poursuivre en génocide...
La nostalgie de la liberté disparue est d'un autre ordre...
Ce blog veut témoigner pour Chypre. Il se composera d'articles glanés ci et là sur le web soit en français soit que j'aurais traduits Puissent les lecteurs francophones en prendre connaissance !
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Le statut de deux bases militaires britanniques sur l’île de Chypre
Publié par
Maxime le minime
dimanche 3 mars 2019
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bases militaires britanniques sur l’île de Chypre,
ONU
«La décision de la Cour internationale de justice est un ‘legal tool’ qui peut être utilisé par le gouvernement chypriote pour négocier le statut de deux bases militaires britanniques sur l’île de Chypre.» Ce sont là les propos de Costas Clerides, Attorney General de Chypre, après l’avis consultatif rendu à La Haye, aux Pays-Bas, au sujet de la souveraineté des Chagos, lundi.
La République de Chypre, située sur l’île de Chypre, dans la Méditerranée, a un différend avec les Britanniques au sujet de la présence de deux bases anglaises sur son territoire, soit Akrotiri et Dhekelia, qui font partie du British Overseas Territory. (BOT). Lors de l’Indépendance, obtenue en août 1960 des Britanniques, un accord a été signé entre la Grèce, la Turquie et le Royaume-Uni pour qu’il y ait un seul pays sur l’ensemble de l’île.
Sauf qu’en juillet 1974, la Turquie occupe militairement la partie nord de l’île (38 % du territoire), à majorité turcophone, créant une partition du pays. Cela a depuis donné une «République turque de Chypre du Nord» non reconnue par la communauté internationale mais uniquement par la Turquie. Le territoire restant (62 %) est connu comme la République de Chypre, auquel il faut cependant soustraire 3,7 % de superficie, qui est occupée par les casques bleus des Nations unies (la ligne verte, qui sépare le Nord turcophone du Sud chypriote), et aussi, les deux bases militaires britanniques sur l’île.
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